La chambre d'Eriol

L'endroit où il est le plus facil de trouver le chef du The Pact. Le plus souvent au lit avec un partenaire de même sexe en train de dormir ou en plein action.

La pièce y est particulièrement sombre. Les murs et le plafond, recouverent d'une peinture rouge sang donne une impression de chaleur légèrement étouffante. Des draps rouges plus clair et noir sont accroché partout et donne un aspect de rondeur à la chambre pourtant bien carré. Ils rendent la pièce un peu plus chaleureuse et plus libre. Les tons rappelle la vie et la sensualité. Bien que normalement agressive, les couleurs permettent un bon repos et une ambiance intime.

Le lit, king, est en plein milieu de la pièce et ne touche pas aux murs. Des coussins ont été déposé sur tout le tour. Le tissus de la couette est noir avec des plumes rouge sang, le contraire pour les coussins, oreillers et drap. Il compliment bien le look ancient et neuf tout à la fois.

Un bain, suffisament grand pour 4 personnes est installé dans le coin du fond à gauche dans la pièce, bain qui sert d'ailleurs assez souvent. Les autres meubles sont en bois, parmi les dernier du vaisseau. Sans doute la capitaine n'en est-elle pas au courant où il se les aurait déjà fait enlever.

Une odeur de feu règne en permanence dans cette chambre bien qu'aucun feu n'y soit jamais allumé. C'est un secret q'Eriol garde jalousement.

Nathaniel prit bien son temps pour répondre... Normalement c'était une qualité appréciable chez les gens, car rare sont ceux qui réfléchissent avant de l'ouvrir. Et beaucoup le regrèttaient d'ailleurs, sans apprendre de leurs erreurs... Peu importe.

Le fait est qu'Ériol commençait à perdre patience. Il n'était pas déjà d'une patience extrême à la base, alors à ce moment précis, alors qu'il voulait avoir du bon temps, il ne l'était pas du tout.

-Alors?

Nathaniel lui passa alors les deux bras autour du cou. Un sourire d'une très grande perversité se dessina sur les lèvres du plus grand. Il dût donc se donner quelques centimètres de plus en se montant sur la pointe de ses pieds. Pas que cela dérangeait le chef... mais il était de nature à remarquer tous les détails d'habitude. Il aida donc l'autre à pouvoir l'embrasser en baissant légèrement la tête. Lui qui normalement ne s'abandonnait pas à ce genre d'étreinte en public, mais même un grand glacier avec un bâton dans le cul pouvait de mettre à fondre...

- La chambre...

*La chambre hein?*

Il ne se laissa donc pas distraîre et ramassa simplement le plus jeune en poche de patate avant de poursuivre son chemin. Le moins de temps ils perdraient le mieux... Il était au bout de sa patience et encore fier de son idée qu'il qualifiait de géniale. Ce qui était en soi très rare.

Il se ramassa donc en quelques pas seulement dans la chambre à coucher. Sans une fois déposer l'autre homme, il ouvrit et referma la porte avec son pied droit. Il n'était quand même pas pour blesser celui qui l'emmènerait au 7ème ciel... Il s'approcha donc du lit et y jeta le jeune homme avant de se reculer légèrement pour observer la scène.

Il apprécia que son amour se penche un peu la tête pour lui permettre de mieu l'embrasser. Mais lorsuqe se baisé fut terminé et qu'Eriol le souleva du sol de cette facon, il ne pu s'empêcher de pousser un petit cri de surprise avant de laisser un petit rire. Ce n'était pas tout les jours qu'il se fesait porter de cette facon et ce n'était pas pour lui déplaire. Il s'aggripa cependant bien, pour éviter de tomber. Il en profita pour jetter un petit coup d'oeil vers son postérieur. l'envi de le toucher ne lui manquait pas et il avait peine a se retenir. Oh et puis zut ! Il y porta une de ses mains pour la presser et la caresser. Il aimait bien toucher cette partit du corps de son amant, sachant que c'était la préféré de ce dernier.

Une fois le seuil de la porte franchit, il se sentit tout d'un coup beaucoup plus à l'aise. Cette fois, plus personne ne pourrais les déranger. mieu vaut tard que jamais. Lorsqu'il atterit sur le lit, il se dit qu'il ne voudrait plus le quitter, rester dans cette chambre avec celui qu'il aimait et ne plus en sortir... ce n'était pas comme s'il manquait quelque chose a l'extérieur de toute facon. Il fallait qui lui en parle, ne sait-on jamais....

Il regarda Eriol s'éloigner quelque peu et sentit son regard le regarder de la tête au pied. Il aiamit bien cette attention qu'il lui portait mais ci cela durait trop longtemps, sa pouvait le rendre légèrement mal à l'aise, mais cette fois, il aimait. Il était a présent coucher sur le lit, les bras relever de chaque coter de sa tête avant d'avancer un de ces derniers vers celui qui était toujours debout, l'invitant a le rejoindre. Il avait assez patienter toute la soirée, maintenant, il voulait de l'action. Il regarda l'homme devant lui, le regard dévoilant toutes ses intentions. Oui, il ne voulait faire plus qu'un avec lui... Et l'autre aussi, d'après ce qu'il pouvait en déduire de son regard.

Eriol eut envie de rire... Le jeune voulait de l'action. Tout bad... Il voulait jouer... Probablement pour un certain temps. L'autre devrait donc attendre pour satisfaire ses envies quelconques. Quelconques, bon, envies très évidentes et facilement dissernable vu la bosse dans le pantalon. Mais bon, là était le plaisir que d'ignorer cette bosse si désirable...

- Je veux voir ton hadaka no atatakai. (agréable corps nu)

Il vit le réflexe de l'autre de s'approcher. L'envie de le laisser faire s'empara du plus grand des deux, mais le désir de jouer un peu surpassa cette envie. Peut-être une autre fois laissera-t-il son semblable prendre le contrôle. Mais pas aujourd'hui. Maintenant, il se sentait cruel, cruel au point de prendre son temps. Et il le prendrait. Nathaniel, chignerait probablement un peu, voir beaucoup, mais il ne gagnerait pas.

- Chotto! (Fige!) Déshabille.

Le ton ne laissait pas à argumenter. C'était un ordre, pur et simple. Tout irait encore plus lentement, il y prenait plaisir. Plus que d'habitude. Il était sûre que ça paraissait sur son visage. Il s'en moquait à vrai dire.

Il s'éloigna encore plus de l'homme et alla se chercher une chaise qu'il rapprocha légèrement du lit avant de s'assoire à califourchon. Il aurait un petit spectacle pour commencer, et il savait que l'autre serait mal à l'aise. La musique leur battait les oreilles en provenance du Maru. Le beat était déjà lancer.

Il se ferait déshabiller un peu plus tard. Un à la fois et pour l'instant c'était au tour de son partenaire de commencer, tout simplement parce qu'il l'avait décider.

Bien sûr le jeune homme avait ses dire dans cette histoire. Il pouvait toujours refuser et personne ne le lui en voudrait pour le moins du monde. Il utiliserait seulement une autre technique pour parvenir à ses fins. C'est tout! Il avait quand même un certain respect pour l'intégrité et la modestie de son bras-droit. Bien que ce dernier n'en est pas montrer beaucoup en ce jour comparé aux autres.

bon bon bon... pour faire plaisir a un certain alex don je ne nommerais aps le nom on va dire 18 ans et + mais bon... je suis pas l'exemple alors on s'en fou !

Pourquoi est-ce qu'il ne venait pas le rejoindre ? Il en avait assez de patienter. toute la journée il en avait eu envi et maintenant.. et maintenant... son pantalon ne le cachait plus tellement bien... Il remarque que Eriol s'en était rendu compte et cela le fit rougir. Il rougit encore plus lorsque celui-ci lui dit qu'il voulait le voir nu. Lui aussi il voulait le voir sans vêtements, alors pourquoi sa serai a lui de ce déshabiller en premier? Il le savait pourtant qu'il était pas très à l'aise dans ce genre de situation...

- Chotto! Déshabille.

Il le vit ensuite prendre une chaise pour s'assoeir dessus. Il lui fit une petite moue. Il aurait préfére que cela ressemble plus a quelque chose de romantique plutot que comme un jeu comme on dirait qu'Eriol le prenait en ce moment.

La musique était la certe, et lui avait l'air de s'être installer pour un petit moment attendant qu'il se déshabille, l'ambiance était donc propice a la situation. Il se releva donc se mattant debout a côter du lit et rougit de plus belle. Il allait le regarder pendant qu'il se déshabillait. pourtant, il savait qu'apres un ou deux morceau d'enlever, la gêne cmmencerais a disparaitre et le fait de savoir qu'ensuite se serait au tour de l'autre a le faire, l'enouragea.

-c'est gênant ...!

Au son de la musique du bar qu'il pouvait entendre de la chambre, il commenca tout de même a bouger ses hanches tranquillement au début puis, prenant de plus en plus d'assurence, il commenca a faire des mouvements devenant plus aguicheur les uns que les autres. Il posta ses mains a son ventre, levant lentement le bas de son chandail avant de finallement le rabaisser. Il voulait jouer ? alors ils allaient y jouer tout les deux. Il se mit de dos a lui, remontant ses mains de sa cuisse a son cou, passant par les fesse et le torse avant d'enlever finallement son chandail très lentement. Il le balanca au pied du lit et lui fit face de nouveau.

Il entreprit ensuite de se débarraser de son pentalon, jouant d'abord avec le bord. Il défit le outon puis la fermeture éclaire ûis, encore une fois lui tourna le dos, se penchant de beaucoup vers l'avant, tout en le descendant, laissant une vue directe sur ses fesses, malheureusement encore cachées par son sous vêtements.

Ill s'approcha d'Eriol, et l'obligea a se lever en le tirant par les mains, avaec de les lui faire déposer sur ses hanches. il sapprocha de son oreille et la mordilla quelque peu.

-J'aurais besoin de ton aide pour la parite restante

il lui avait dit cela avec un regard et un sourire des plus pervert, s'amusant a se remuer les hanches, ses mains toujours poser a cet endroit.

L'admin en second va parler: kids, get the hell away from here!

Le jeune homme devant lui était vraiment un livre ouvert. Toujours pouvait-on voir les émotions sur son visage. Elles y étaient très bien dépeinte d'ailleurs. Un artiste aurait pas chercher mieux comme modèle. La toute première la déception. Déception de le voir s'éloigner. Ensuite est venu le questionnement, pourquoi est-ce que l'autre s'éloignait de lui. La déception de ne pas avoir ce qu'il veut comme il le veut prit ensuite le siège sur son visage. La gêne et l'inconfort reprirent le trône ensuite à l'annonce qu'il voulait que l'autre se déshabille.

Nathaniel prit ensuite le mouvement de la danse, lentement, mais sûrement. Tout doucement il se laissa aller les hanches à la musique, très sensuelle pour l'occasion, il devra féliciter le DJ de ses choix pour la soirée. Il commença à se passer les mains sous le chandail avant de les rabaisser.

C'est là que le jeu c'est installé sur le visage de son bras droit. Un petit sourire en coin s'installa sur le visage d'Eriol. Ce soir, tout serait différent et beaucoup plus wild. Quand ils n'auraient plus d'autre choix que de s'abandonner, plus rien n'allait les arrêter. Tant mieux.

Le jeu du jeune homme prit une allure presque sexuelle. Eriol dût vraiment se retenir à deux mains pour ne pas bondir sur sa proie. Proie très au courant de ce qui se passait et très très en accord avec ce qui allait justement arriver des la prochaine heure. Consentiment donné à l'avance.

Le chandail prit tout de même assez rapidement le chemin du pied du lit. Mais il aurait bel et bien pu se terminer dans un feu que le jeune chef du Pact aurait eu l'exacte même réaction; regarder avec une attention quasi gênante le dos et le ventre du jeune homme. Le rebord du pantalon sembla servir de jouet un court instant. Court instant qui parrut d'ailleurs prendre une éternité du temps de l'homme sur la chaise. Il se sentait plus que largement près à abandonner son jeu. Seul une détermination de l'enfer l'en empêchait.

Le bouton et la fermeture éclaire partirent tout de même assez vite. Trop vite. Il savait que le plus jeune préparait quelque chose de louche. Enfin louche n'était peut-être pas le bon mot...

La mâchoire faillit lui accoter le plancher lorsque Nathaniel se retourna et se pencha pour rabaisser le fichu pantalon qui mériterait de finir au feu pour avoir cacher de si belles fesses. Ronde et pleine de muscle et pas trop grosses mais certainement présentent en bonne quantité de chaire. Il dût d'ailleurs se passer la langue sur les lèvre par réflexe.

Ce qu'il pouvait osé aujourd'hui, premièrement dans le lac, ensuite dans la douche, maintenant derrière une porte close, mais imbarrable. JAMAIS l'homme n'avait-il agit ainsi depuis son arrivé sur ce maudit rafiot! JAMAIS! Ça n'avait d'ailleurs rien pour ennuyer Eriol, mais c'était tout un changement. Ça où une semaine sans relations quelconque avait autaut affecté le plus petit que le plus grand.

Un frisson lui passa rapidement dans la colonne, au point qu'il n'en sut ni la provenance ni l'arrivée à l'approche de l'autre. Lorsqu'il se pencha vers lui, Eriol ne put s'empêcher de regarder avec haine le sous-vêtement. Mais qu'est-ce qu'il fouttait encore là!!! Il ne se rendit même pas compte du mordillement de son oreille malgré les percings. Juste un autre frisson attira son attention sur l'endroit qui se faisait montré de l'attention.

-J'aurais besoin de ton aide pour la parite restante

Il remarqua à peine qu'il était debout et plus à cheval sur la chaise. Il ne remarqua pratiquement pas qu'il avait les mains sur les hanches du jeune homme. Pas qu'il se plaignait des deux faits1. Il en profita d'ailleur pour baisser le dernier rempart de protection du jeune homme; son sous-vêtement. Il passa ensuite les deux mains derrière le dos du jeune homme. Une se rendit aux fesses, comme toujours, une à la nuque où il empoigna les cheveux de son amant.

Il lui tira les cheveux vers l'arrière de façon assez brusque, mais pas trop douloureuse, avant d'embrasser l'homme à pleine bouche.

*Je crois que le jeu était de trop pour aujourd'hui...*

Il avança tranquillement, pour laisser à l'autre la chance de reculer et les dirigea vers le lit qui criait leurs noms depuis une éternité déjà. Le lit ne les appellait certainement pas pour dormir, au non! Sans couper le baiser, il trouva le moyen, ou était-ce Nathaniel qui le trouva, à enlever le manteau de cuir et le chandail du chef.

Peu importe, le fait est que s'il avait pu, ses vêtements il les aurait tout simplement arrachés! Il l'aurait probablement regretté, car trouver du cuir sur ce vaisseau était maintenant mission impossible. Comme de trouver des condoms d'ailleurs. Certains diraient vive la reproduction libre, d'autre vive la propagation de maladie. Le chef se faisait d'ailleurs vérifié toutes les deux semaines. Il en était parano.

yop yop yop présence d'une scène Yaoi ^^ yop yop yop

L'envi et l'impatience se fesait de plus en plus présent chez Nathaniel. Il ne savait pas ou se situait la limite de ce qu'il pouvait endurer mais quelque chose lui disait qu'il allait bientot le savoir. Lorsque le dernier morceau de vêtements qui le séparait de la nudité disparue, ils les sentit monter d'un cran encore. cela en devenait insuportable.

Les mains de l'homme devant lui qui fesait descendre ce fameu sous vêtements frôlait ses jambes et ses cuisses, lui donnant des frissons de la tête au pieds. Le contact de sa peau sur la sienne était quelque chose q'il ne pourrait s'en passer. Il ne voulait même pas imaginer ce que pourrait être la vie sans lui. Tout ce qui comptait, était le moment présent.

Les mains D'Eriol se firent plus entreprenantes. En effet, l'une d'elles vint se positionner sur ses fesses. L'envi remonta encore d'un cran. Elle augmenta aussi lorsqu'il lui empoigna les cheveux pour le faire pencher la tête vers l'arrière et ensuite l'embrasser. Ce petit geste était ce qui caratérisait Eriol. Il pourrait reconnaitre ses baisés parmis ceux de n'importe qu'elle homme sur terre.

Ce baisé fut trop long et trop court a la fois. D'un côté, il voulait plus qu'un simple baisé mais d'un autre, il ne voulait qu'il ne soit jamais interrompu. C'est dans cet état d'esprit qu'il lui retira son veston et son chandail, sans se gêner pour toucher a son corps. D'abord ses bras, ensuite son ventre pour finir sur son visage.

En moin de temps qu'il ne le faut pour le dire, il se retrouva coincé entre Eriol et le lit. Il se laissa donc s'étendre sur lit, son amant se retrouvant au dessus de lui. Sa avait toujours été comme sa, Eriol dictant la cadence et lui profitant de tout ce qu'il lui donnait, ne s'empêchant pas de lui donner beaucoup lui aussi. C'était comme sa, et il ne voulait rien y changer.

Il y avait toujours le pantalon et les sous vetement D'Eriol fesant barrière èa la situation, mais il allait y remédier bien assez tôt.

Si la gêne est un problème pour vous, elle ne l'est pas pour moi, sautez donc ce qui suivra...

Le lit dût se faire suffisament mou pour le jeune homme car il ne broncha pas. Son manteau et chandail enlever, le contact peau contre peau ne se fit donc pas attendre. c'était confortable. Ok, il y avait encore beaucoup d'ostable à l'accessibilité de ce sport favori de plusieurs, mais c'était tout même facilement arrangeable.

Il en fit d'ailleurs un court d'écompte dans sa tête. Un pantalon, un sous-vêtement.

*Est-ce que j'en porte vraiment un?*

Un bas, Non deux.

très simple non? Il aimait pas se casser la tête. Ha oui les bottes... Elles prennaient toujours un temps fou à mettre et enlever... Tant pis, il les aimait ses bottes.

Il rattrapa la crinière de son amant de plusieurs soirs passés et à venir et le rembrassa à nouveau. Normalement un geste qui avec les autres ne lui plaisait pas. Sans doute était-ce causé par l'habituation au jeune homme. Il détestait se sentir trop ouvert avec un étranger. C'était du sexe et c'est tout, mais ce n'était plus le cas avec Nathaniel. C'était devenu plus normal, plus fréquent. L'autre le suivait partout depuis un certain temps. Il était son bras droit dans le gang, servait de mur de brique entre lui et la capitaine, lui servait d'aide-mémoire, le suivait à la douche et au lac, l'accompagnait dans le bar, le ramenait quand il ne pouvait plus marcher et dormait avec lui depuis maintenant plusieurs mois. Il n'était plus un étrange, mais quelqu'un de la vie courante.

Une connaissance, certainement pas.
Un ami, les amis ne baisent pas comme des lapins...
Un amoureux, non... Eriol ne connaissait pas l'amour.

La seule chose qui lui venait en tête s'était la définition de celle qu'il appellait sa petite soeur sur Terre; un ami avec intérêt. Possible. Ce n'était pas plus mal.

Il revint à la réalité et arrêta le baiser en cours. Il avait d'autre chats à fouetter. De sa main droite il tira plus fort sur les cheveux de l'homme, le forçant à tourner la tête. Il commença par lui mordiller légèrement l'oreille. Puis à descendre dans le cou.

Pendant ce temps, sa main gauche commença à descendre le corps de l'autre, l'épaule en premier. Le but c'était de faire craquer l'autre. Se voir jusqu'où il pouvait se faire pousser avant de devenir sauvage. Essaerait-il de prendre le contrôle? Ce pourrait-être une option à envisager.

Un sourire sadique lui monta au visage. Il verrait bien. Sa main massa l'épaule un moment plus longtemps que nécessaire. Beaucoup trop longtemps sans doute pour celui qui subissait. Il la fit descendre sur le pectoral droit du plus jeune, lentement et sans but précis. Enfin si avec un but précis, mais pas pour le moment. Il alla lui carresser le côté en évitant toutes zones hérogènes. Avant d'aller frôler l'entre-jambe en remontant.

Sa main passa sur le ventre lentement en jouant des doigts, ce qui normalement aurait dût chatouiller devait avoir un tout autre effet. Il la laissa remonter jusqu'au cou de l'homme avant de reprendre le même manège à une lenteur exaspérante.

- Ima nani tendeska? (qu'est-ce que tu fais maintenant?)

La phrase se voulait non joueuse, curieuse et ouverte. S'il voulait attirer son attention longtemps, l'autre devait se mettre à le surprendre, comme il en avait d'ailleurs montrer l'aptitude la journée même.

vous êtes homophobes et vous vous aimé pas les savoir faire des cochoneries ? bah qu'est-ce que vous fouter ici !?

Bien qu'il était habituer, et il fallait l'avouer, qu'il aimait bien la brusquerie d'Eriol, lorsque celui lui tira les cheveux cette fois-ci il ne pu retenir une petite plainte. Il ne lui demanda cependant pas d'arrêter ou d'être plus doux. Maintenant la tête tournée, son oreille était devenue vulnérable et Eriol en profita pour mordiller cette partit qui le fesait craquer a chaque fois. Il le sentit ensuite descendre a son cou. Il repensa alors pendant une fraction de seconde ces vieux film de vampire qui séduisait leur proix avant de se nourrir. Ces vieux films, il ne les reverrai plus et cela était dommage. il aimait bien se voutré dans un canapé et écouter un film en bouffant du pop corn dégoulinant de beurre... Enfin bref, Ces pensée furent chassé lorsque qu'un main vint se ballader sur son corps. Il aimerais le sentir le toucher encore et encore mais pas aujourd'hui. Son envi se fesait trop intense.

- hahh!

Lorsqu'il frola son entrejambe il ne pu se retenir. premîèrement gêné, il eut le réflex de porter sa propre main a sa bouche pour la mordre légèrement, l'empêchant ainsi de laisser aller trop de sons.

Les doigts sur son ventre furent une très gande tourture pour lui. quasi aussi grande que si on l'aurait forcé à l'abstinance. Le pire fut lorsqu'il recommenca se manège une autre fois. Il voulait vraiment l'achever ? Mais bon, il aimait lui servir de jouet de cette facon.

- Ima nani tendeska?

-je...

Il n'arrivait même plus a aligner une pensée correctement et cela le fit rougir. Il savait qu'Eriol ne manquerait pas se signe. C'est donc aprèes un court instant qu'il se souvenait qu'il était encore et toujours le seul complètement nu. Il fallait y remédier.

-Tes vêtements...

c'était plus un soupir qu'une parole mais le fait est qu'il l'avait dit. Il porta ensuite ses mains d'un l'une portait ses marques de dents au pantalon devenue un peu plus tot son rival et commenca à le détacher rapidement. Il n'en pouvait plus d'attendre. Il se redressa ensuite, fesant rassoir Eriol sur le lit et l'embrassa avant d'aller porter son attention un peu plus bas, c'est èa dire a ses bottes. Il eu un petit moment de découragement les voyant mais se dit qu'un fois cela fait, le reste disparaitrait assez vite, il s'en fesait la promesse.

* pourquoi il n'a pas des souliers plus simples aussi !? *

Une fois détacher, il les lanca au fond de la pièce. Il n'en aurait pas besoin avant le lendemain de toute facon. Il appuiya sur ses épaule pour le forcer è s'étendre, lui demandant de soulever son bassin pour pouvoir enfin enlever le pantalon. Il resta surpris lorqu'il remarque qu'il n'y avait aucune trace de sous-vêtement.

-Tu te promène souvent sans sous-vêtement comme sa ?

Il n'attendit même pas sa réponce avant de se précipiter dans ses bras et de resouder leur lèvre, laissant sa langue chercher sa jumelle. Il ne rompit ce baisé que lorsqu'il fut a bout de souffle avant de se remettre sur le dos, le laissant reprendre le dessus.

Pour ceux qui auraient pas compris; cochoneries = sex.
Ceux qui aiments pas,
Veulent pas rester là.

- Ima nani tendeska?

-je...

Eriol eut un petit sourire. L'envie d'embêter l'homme qui se trouvait sous lui, lui traversa l'Esprit une fraction de seconde. Ce pourrait être amusant. Mais il se ravisa. Il était déjà suffisament cruel comme c'était parti. Le fait qu'il ne soit pas capable d'alligner deux mots correctement, oublions ici les phrases complètes, flattait le chef.

-Tes vêtements...

Il arriva tout de même à pousser un soupir avec des sons compréhensibles. Mais encore ici, le plus vieux refusait de se laisser faire facilement. L'envie n'y était pas. Et encore dans un esprit de jeu, il secoua la tête de gauche à droite. Mais l'autre n'en prit pas garde. Il le força à s'assoire et à le regarder le dévêtir. Non, définitivement aucune idée d'intervenir ici. Il s'en tirait à merveille seul. Les bottes prirent alors le chemin de l'un des coins de la chambre. Dommage, il devrait les chercher le lendemain matin.

Il se snti se faire étendre, et se laissa faire comme une poupée de chiffon, le but n'était pas de refuser les attentions, juste de ne pas les provoquer dirrectement. Il senti ses pantalon quitter son corps assez rapidement. Puis une courte hésitation.

-Tu te promène souvent sans sous-vêtement comme sa ?

-Parfois... Quand je n'en trouve pas le matin même ou que je les perds à la douche.

Répondit-il avec un sourire en coin. Peut-être se faisait-il des idées, mais le plus jeune se ferait peut-être des idées appréciable. Ses lèvres retrouvèrent ensuite précipitament leurs jumelles avant de se retrouver à nouveau sur le dessus. Il ne réagissait pas vraiment plus que ça, mais sa main reprit son manège, un peu plus osé, mais à peine, cette fois.

vous connaissez la chanson Electric cucumber de hide ? bah elle représente assez le moment que nos personnages vive en ce moment ^^

-Parfois... Quand je n'en trouve pas le matin même ou que je les perds à la douche.

* faudrait que je pence à cacher ses sous-vêtements à l'avenir... *

à la suite de cette idée, un sourire prit vie sur ses lèvres. C'est vrai que ce serait une idée. Sauf que le savoir toujours sans sous-vêtements serait peut-être trop tentente à chaque fois...

Se retrouvant une fois encore en dessous, Il recu encore toute l'attention d'Eriol. Sous l'une d'elle, il se cambra fesant se toucher leur érections. un soupir d'exitation franchit le seuil de ses lèvres. Il resouda à nouveau ces dernières avec celle de l'homme au dessus de lui.

Il posta ses mains sur ses avants-bras, les remontants sur ses épaules. Il entreprit alors de les redescendre lentement, prenant bien soin de redessiner ses muscles du bout des doigts. Ceux-ci démontrait la force qu'il avait acquérit jusqu'a maintenant. Surement grace à la vie qu'il menait avant d'arriver à bord, mais il ne l'avait jamais vraiment questionné sur son passé. Il se disait que s'il avait envi d'en parlait, il le ferait de lui même.

Il changea alors d'idée et décida d'aller faire promener ses mains lui aussi un peu plus loin. Elles se promenère de ci de la jusqu'a ce qu'elle atteignent l'endroit désiré; son entre-jambes. Il commenca par y faire ballader des doigts, puis, le caressa avec plus d'attention, lentement d'abord. Il fallait qu'il souffre a son tour. Lorsqu'il crut qu'il l'avait assez fait patienter, il retira sa main, décidant d'aller entourer son cou de ses bras avant de le regarder droit dans les yeux, d'un regard suppliant.

- Je... j'en peu plus Eriol... Je t'en pris..!

Bon je crois que je feel un peu plus violente que la dernière fois; allez-vous cachez sous les jupons de vos mamans, l'action va vraiment commencer!

Le sexe c'est très personnel et impersonnel à la fois.

Impersonnel car tout le monde a du sexe, même les prêtres qui jure rester sage pour un dieu qui existe probablement pas. Ça l'est aussi car tout le monde peu baisé n'importe qui, surtout en des temps durs comme ceux que ''l'humanité'' traverse en ce moment.

Personnel à la fois, car ce n'est souvent pas que dénudé son corps, mais aussi une partie de son âme. Mais on s'en fou le trois quart du temps. C'est du sexe. Point.

La limite entre les deux restent souvent très vague. Peu importe. Ce n'est pas le genre de choses qui restentlongtemps les préoccupation de quelqu'un prisonnier d'un acte qu'il ne veut surtout pas abandonner en plein milieu.

Ses gestes semblèrent rendre fou l'homme en dessous de lui. Leur érections se touchèrent, manquant de faire passer toute retenue par-dessus bord de la fenêtre imaginaire qui s'en trouvait drôlement proche dans la tête d'Eriol. Il serra légèrement les dents, ne laissant passer aucun son dans sa gorge. Sentant que s'il se laissait le moindrement aller, ce serait la fin irrémédiable du jeu. Quoi qu'était-ce si mal?

*Oui... il faut le faire languir.*

Les mains de Nathaniel prirent un peu plus d'audace, comme chaque fois qu'il était sur le point de craquer. Sans jamais avoir atteint le point de non retour. Ses mains descendirent le corps du chef du Pact pour atteindre son entre-jambe. Les doigts purent toujours passer. Mais les mains au complet qui jouait avec son intimité... s'en était peut-être trop. Il laissa passer un grognement entre ses dents. Un bruit sauvage et plein d'envie de chaire. Son corps refusait de bouger, même d'un centimètre pour retenir son bras-droit.

Lorsque les mains le quittèrent, il put enfin se remettre à respirer. Enfin, respirer est un grand mot.

- Je... j'en peu plus Eriol... Je t'en pris..!

-Doushite... ? (Pourquoi... ?)

Commença-t-il sans voix aucune. Il continua de parler lentement, en stressant ses mots pour en faire comprendre le sens complet à l'autre.

-Pourquoi devrais-je te donner une chance d'y aller doucement et d'être sûre que tu puisse marcher droit pour la prochaine semaine?

L'envie de prendre son temps venait de dirrectement passer par la fenêtre imaginaire a la vitesse de l'éclair et ne reverrait certainement pas le jour dans le cerveau d'Ériol avant au moins quelques minutes, voir heures... Il avait envie de pénétrer l'autre et de dealer avec les dommages demain.

voici un petit bout d'un film porno gay.... sans le film... bref vous avez le scénario si vous voulez en faire un film.... ya quand même des droits d'auteur attention !

-Doushite... ?

* Doushite !? je n'en peut tellement plus que sa en fait mal ! si ce n'est pas lui qui fait quelque chose d'ici les prochaine minutes, c'est moi qui va m'en charger ! *

-Pourquoi devrais-je te donner une chance d'y aller doucement et d'être sûre que tu puisse marcher droit pour la prochaine semaine?

S'il n'était pas déja aussi rouge, on aurait pu voir ses joues rosirent. 'était le genre de phrase qu'Eriol aimait dire pour le gêner ou l'agasser. Cette fois, elle le gêna mais il était heureux de l'entendre. Il en avait auant envi de lui a ce qu'il pouvait en déduire.

Il ouvrit la bouche comme pour dire quelque cose mais rien ne sortit. Lui demander ce qu'il voulait le rendait mal à l'aise et dut s'y reprendre a plusieur fois avant de vraiment y arriver.

- Eriol, je... je voudrait que... que tu me fasse l'amour...!

Automatiquement, comme par réflexe, il tourna la tête de côté, évitant ainsi de croisé son regard. Même s'il aimait plus que tout faire cette activité avec lui, le lui demander de cette facon le gênait tout le temps.
Il attednit un instant avant de retourner sa tête comme elle l'était avant et de se jetée sur sa bouche. Pour la ènième fois de la soirée, il découvrait la bouche de son amant avec un terrible envi de le sentir en lui.

MAMAN!!!!!!! C'EST PAS ENCORE FINI!!!!!!!!!!!

Nathaniel semblait vraiment sur le point de crauqer de douleur ou d'envie, lequel n'était pas très clair. La douleur d'un érection trop longtemps soutenue ou l'envie qui lui brûlait les veines et lui tappait les tempes. Peut-être était-ce un peu des deux.?

Grosse envie et grande douleur. Il se questionna à nouveau sur la pertinence de faire attendre son amant. Le désir de le prendre sans attendre et celui de voir l'autre craquer se battaient dans son crâne avec la force de deux fronts en pleine bataille. D'un côté comme de l'autre, les forces ne diminuaient pas, ni ne parvenaient à prendre le dessus. Le fait que l'homme au cheveux pâle ne réponde pas n'aidait en rien la situation. Il semblait tout simplement bouche bée face à ses mots sâles qui semblaient tant l'allumer.

- Eriol, je... je voudrait que... que tu me fasse l'amour...!

Quelque chose chez le plus vieux se bloquait chaque fois que l'autre lui demandait une telle chose. Faire l'amour, était-ce même possible. Il ne le savait pas. Oui il avait un grand respect pour son bras-droit et il s'inquiétait souvent. Il ne voulait pas non plus le laisser sortir de son champs de vision trop longtemps. Mais était-ce de l'amour?

La première fois qu'il se l'était fait demander, il avait complètement perdu ses moyens et avait quitté la chambre. Ce n'était jamais un contexte auquel il avait pensé. Maintenant, il y était habitué, bien que toujours incertain du principe qu'est l'amour.

Le plus jeune tourna la tête pour éviter de croiser son regard et comme chaque fois, la retourna pour l'embrasser. Et comme chaque fois, Eriol ne répondit pas aux paroles de l'autre. Il ne les ignora pas, mais refusait simplement de se prononcer.

Il préféra ne pas perdre de temps. Le désir du plaisir charnel l'emporta sur l'envie de voir l'autre craquer.

*Une autre fois*

Il releva une des jambes de son partenaire sur son épaule et le pénétra d'un coup sans le préparer. Il avait après tout prévenu l'autre qu'il ne marcherait pas droit pour une semaine. Il aurait dût savoir que ce n'était pas une blague. Il resta là quelques instants sans bouger.

I love you, you love me, we are happy familly, with a great big hug and a kiss from me to you, won't you say you love me too !! WTF une chanson pour enfant dans un topis de cul c'est quoi sa !?

Le fait de ne pas recevoir de réponce l'attristait tout le temps et à chaque fois, il avait peur qu'il ne quitte comme la première fois. Il s'était retrouver seul après qu'il est précipitament quitter la pièce. Ce n'était pas ce genre de réaction qu'il avait voulu en lui disant sa la première fois. Et il était loin de ce douter que c'était ce qui allait arriver. Depuis cette fois, il se sentait stupide de demander cela encore mais il ne pouvait s'en empêcher. Il l'aimait. Mais il n'était pas sur que ce soit réciproque. Cette pensée lui serrait le coeur a chaque fois mais au moins, s'il ne l'aimait pas autant que lui l'aimait, il restait avec lui et prenait soin de lui. Il fallait lui laisser du temps, peut-être l'aimera-t-il un jour.

Une douleur cuisante l'envahi lorsque l'autre le pénétra. Normallement, il prenait au moin le temps de le préparer même s'il n'était pas la douceur incarnée, mais cete fois, rien. Il ne pu s'empêcher de laisser sortir un plainte en même temps qu'une larme. Était elle dut au fait de la douleur ou de pensée que son amour n'était pas totallement réciproque. Peu importe, ce n'est pas le moment d'y penser.

Pour atténuer un peu la douleur, même s'il a remarquer depuis longtemps que cela ne marchait pas, il s'aggripa encore plus au cou de son partenaire.

Une fois complètement à l'intérieur, l'autre fit une pause, permettant ainsi a Nathaniel de reprendre sa respiration. L'effet de surprise et la douleur l'ayant stoppée. Il respira calmement, et lorsque la douleur commenca à s'atténuer quelque peu, il fit bouger son bassin, lui donnant le signal qu'il pouvait commencer à se mouvoir. Il n'avait plus la force de patienter. De toute facon, la douleur donnera bien vite sa place au plaisir.

Je me suis déjà fait traité d'obsédée... c'est pas vrai, c'est juste les autres qui sont trop pudique...

Il vit l'impression de la douleur sur le visage de l'autre avant de réaliser qu'il avait oublier une, voir deux étapes importantes... Le lubrifiant et la préparation... Il avait prévenu l'autre, oui. Mais là l'image figurée deviendrait peut-être un peu plus réelle... Il se ferait pardonner de son mieux. Et se donnerait des claques mentales pendant encore quelque temps.

Il profita du temps d'attente pour essuyer la larme dont il ne comprennait pas la provenance. La douleur? Se pouvait-il que se soit suffisant? Il n'osait pas en douter dans un sens. Mais le jeune homme, bien que quasi model avant leur rencontre, n'était pas si faible et fragile que ça. Il es avait déjà vu des pires sur le vaisseau. Il avait du se faire tirer dessus comme plus de la moitier des gens à bard qui sont majeur et vacciné. Lui-même avait sût servir de cible une demi-douzaine de fois. C'était moins le cas depuis la création du Pact et depuis qu'il était reconnu comme le pouce vert de la place.

Il laissa l'autre s'agripper à lui d'une poigne puissante, bein que le contraire eût éé plus efficace. Se relaxer est toujours la clé. Mais Nathaniel le savait déjà. C'était la réponse de ses muscles de se contracter, réponse normale d'ailleurs. Il le laissait donc faire et joua avec quelques mèches de cheveux blanche-blonde. C'était toujours surprenant de voir une telle couleur chez un asiatique. Un albinos, un être rare; un être unique.

Il senti l'autre perdre patience et commencer à bouger sous lui. Mais l'envie n'y était pas vraiment. Comme excuse il se disait qu'il était bien là où il était. Il se mit tout de même quelques secondes plus tard à obéir aux désirs de son partenaire et commença à son tour à bouger, serrant les dents du plus qu'il le pouvait.

*Merde... comme la première fois...*

Cette pensée lui fit passer un autre frisson dans le dos et un grognement sourd. Le plus jeune allait être sa mort.

[désolée, je sias que c'est très court pour l'attente que tu as eu à patienter... mais ma pauvre tête va exploser...]

Mickey Mouse vous aime! et moi aussi ! c'est pour cela que je vous avertit que ce qui suit est très interessant, comme le reste du topic d'ailleurs ^^

Le fait qu'il commence a bouger le soulagea mais la douleur reprit bien vite le dessus malgré lui. Il fit son possible pour ne pas le laisser paraitre mais le fait qu'il ne l'ait pas préparer était quelque peu douloureux et sans qu'il ne le prévoit, ses ongles commencèrent a s'enfoncer dans la peau du plus vieux. La dernière fois que cela s'était produit, il avait encore les traces de son passage le lendemain, alors il essaya cette fois-ci de garder le contrôle mais y parvint à peine.

il commenca doucement à sabituer à la cadence de son partenaire y prenant plaisir petit par petit, fesant ainsi chasser la douleur tranquillement. celle-ci le quittant, il réussit à l'âcher prise les épaules d'Eriol de ses ongles cherchant ses lèvres pour se faire pardonner. Il dut les lacher soudaiment pour reprendre son souffle du a la surprise lorsque celui-ci atteint un point sensible mais très agréable

-AH ! ha..Hayaku ! onegai... ( plus vite, s'il-te-plaît )

Il espèrait que ce moment dure pour longtemps, même si lui ne l'aimait peut-être pas autant que lui, il lui donnait quand même tout, autant son coeur que son corps, son âme et serait prêt même a donner sa vie.

Son visage, l'expression d'en se moment, mélange de plaisir et d'une chose qu'il ne pouvait savoir quoi, l'intriguait, à quoi pensait-il ? bref, il essairais de se rapeller de son visage et y resonger un peu plus tard, le moment étant mal choisit pour s'interroger. Il s'aggripa encore a lui, mais cette fois-ci ce n'était pas causer par la douleur, non, mais par un mélange de plaisir et d'exitation. Si cela continuait à ce rythme, il n'allait plus tenir bien longtemps.

On va faire ça court: les enfants, les homophobes, les sensibles, les pudiques, les gêné et tous ceux que du sexe entre personnes homosexuels n'intéressent pas:DEHORS

Il senti les ongles du blonds lui enfoncer dans la chaire. Mais il ne pouvait pas le lui en vouloir. Et puis il était de nature légèrement masochiste. La douleur l'allumait, bien qu'il savait que ce n'était pas le cas pour tout le monde. En même temps, quelque chose en lui s'allumait, il se sentait marqué, comme si le plus jeune laissait sa marque sur lui. Ça aussi ça l'allumait. Lui qui dirigeait toujours tout le monde et qui laissait sa marque, bien que pas toujours aussi litéralement, aimait bien sentir qu'il appartenait à quelqu'un parfois. C'était d'ailleurs assez rare que l'autre prenne un pouvoir, un contrôle pareil sur lui. Il fallait encourager ce genre de comportement.

Il embrassa d'ailleur Nathaniel doucement a cet instant même. La cadence restait stable, pas poussée, suffisament lente pour rendre fou. L'autre rechercha ses lèvres. Excuses acceptées, à condition qu'il le refasse. Les lèvres de l'autre quittèrent rapidement les sienne lorsqu'il repoussa sa tête vers l'arrière. Elle était donc là la prostate. Il fit de son mieux pour la frapper à chaque passage de ses reins.

-AH ! ha..Hayaku ! onegai...

Eriol ne répondit dit qu'en accélérant à nouveau ses mouvements. Les ongles de l'autre reprirent leur place sous sa propre peau et le plus vieux poussa un grognement.

*Encore un peu...*

Il passa la main sous son corps et alla agripper le sexe de l'autre. Il fallait qu'il flanche avant. Il voulait terminer avec son propre plaisir après avoir été certain que l'autre serait satisfait. Ce ne serait pas bien autrement. Il cadença les mouvements de son bassin à ceux de sa main pour augmenter le plaisir tout en visant bel et bien cet endroit magique du corps de l'homme.

sérieux je me sens bizarre d'écrire sa quand mon chat me regarde de cette facon, on dirait qu'il me dit : Non mais ta pas honte !? bah non, jai pas honte XD

Suite a sa demande, Eriol avait bel et bien augmenter sa vitesse, au grand plaisir de Nathaniel. Si au début, il avait du mal à aligner une pensé claire correctement, cette fois-ci, avec cette main qui commencait a le masturber, l'effet était tel que s'il n'y était pas habituer depuis qu'il est née, il en aurait presque oublier de respirer. Il avait de plus en plus chaud et de nombreux frissons commencaient a faire leur apparition, les cris se fesaient de plus en plus nombreux eux aussi mais ne fit rien pour les contenir. Il lui donnait du plaisir et ils étaient seulement tout les deux alors pourquoi le cacher? Dans un autre snes, s'ils n'aurraient pas été seul, il ne l'aurait jamais fait a moin d'avoir une bonne raison ou d'y être forcé.

Le moment ou il ne pouvait plus se retenir arriva finallement et il se libéra entre leurs ventres, dans la main de son amant en un soupir plus puissant que les autre. Tout ses muscle se contractèerent, serrant ainsi encore pl;us le membre encore en lui d'Eriol. Si quelqu'un se tenait de l'autre coter de la porte ou qui passait tout simplement par la, il aurait pu l'entendre mais cela, il ne s'en rendit pas compte. s'il s'en aurait douté, il aurait fait son possible pour le réduire au minimum mais la n'était pas le cas.

Même si lui venait d'atteindre l'extase, restait que l'autre ne devrait plus tarder. Encore un peu dans les lymbes, il essayait de reprendre une respiration normal, s'attendant a n'importe quel moment, qu'il se libère a son tour. En attendant, il alla aggriper sa nuque et le rapprocha de lui suffisamant pour l'embrasser sans gêne ni retenue. Toucher et embrasser étaient bien les seuls chose qu'il arrivait a faire en public sans trop de gêne. Il le savait qu'il devrait se dégêner davantages mais seul, il n'y arrivait pas. Peut-être qu'avec l'aide D'Eriol et un peu d'encouragement, voir même parfois y être forcé, cela l'aiderais...

L'admin en second va parler, encore ; C'est presque fini les enfants et Alex! car je sais que tu lis! MOUHAHAHAHAHAHA!

Le plus jeune commençait à montrer des difficultés à respirer. Eriol aurait eu un sourire en coin, s'il avait été moins occupé ailleurs. Peu importe. Ce n'est pas ça l'important. Les frissons commencèrent à parcourrir l'échine du blanchon et la chair de poule commença à apparaître. Il s'était souvent demandé comment il arrivait à voir de tels détails dans une situation pareille, il n'avait pas encore trouver la réponse, et ça ne le dérangeait pas plus que ça.

Nathaniel ne put se retenir de venir, à seulement quelques coups de reins du plus vieux. Par chance car s'était brûlant et plaisant comme l'enfer d'être où il était et il n'arrivait jamais à se retenir lui-même bien longtemps. Alors quand le passage commença à se refermer sur lui, c'était encore pire.

Eriol se libéra à son tour, très peu de temps après. C'était bien beau jouer à l'homme de fer, mais avec son partenaire, s'était impossible. Il embrassa le plus petit avec ferveur et bonheur, le tout venant probablement de l'extase qu'il venait de recevoir. Il se retira doucement du passage particulier pour ne pas blesser l'autre plus qu'il ne l'était sans doute déjà. Il se redonna une claque mentale derrière le crâne et embrasse le front de son partenaire pour s'excuser.

Il se laissa tomber à moitier sur le lit et à moitier sur l'homme aux cheveux blanc en faisant très attention de ne pas y mettre tout son poid, il était après tout beaucoup plus gros que lui. La fatigue s'empara de lui quelques courtes minutes avant qu'il ne se relève pour aller chercher de quoi les nettoyer tous les deux. Chose qu'il abandonna à la seconde où ce fut fait avant de retourner dans le lit dans la même position qu'il avait avant de quitter.

Il avait l'impression de protéger l'autre de tout et de rien en même temps lorsqu'il était couché à moitier sur lui, son nez enfoncé dans son cou. La somnolence le prit.

Owari !!! ^^

Autant il se sentait bien quand il fesait l'amour avec lui, autant il se sentait bien lorsque tout était fini et qu'il était allongé l'un dans les bras de l'autre. il se sentait bien dans ses bras et s'y sentait en sécurité, comme si rien n'y personne ne pouvait l'atteindre. Il s'y sentait tellement bien qu'il éatit sur le point de s'y endormir mais il le sentit se lever. il grogna de frustration a cette soudaine décision mais comprit bien vite pourquoi quand celui-ci revint avec quelque chose pour les nettoyer tout les deux. il se laissa faire, de un, aimant bien qu'il lui porte cette attention et de deux parce qu'il se sentait trop épuisé et paressseux pour faire le moindre mouvements.

Au moment même ou il revint s'allonger dans le lit, sa tête sur son torse, il l'entoura de ses bras pour l'y garder jalousement. Il ne partira plus. Il resta comme sa un moment avant de remarquer que celui-ci s'était endormi. Il était trop migon comme sa, en train de dormir. Tout son côter de warumono ( bad boy XD ) était disparu et il ne restait plus que celui d'un homme tout mignon sa défence. Il veillerais sur son sommeil pour chasser tout le mauvais rêves qui pourrait être tentés d'aller lui rendre visite.

Sa technique marchait assez bien. assez même pour que lorsqu'il s'endormit, les cauchemars n'allèrent pas embêter Eriol mais bien lui.

Il marchait, seul dans le noir depuis un bon moment déja, sans savoir ou il allait. au début, il ne s'inquétait pas trop, il se disait que peut-être il y avait un problème dans le vaisseau et qu'il y avait eu une panne de courant. Mais une chose clochait. s'il avait bel et bien été dans le vaisseau, il aurait depuis le temps, croisé une personne, au nombre d'être humains qu'il y avait, cela aurait été innévitable. De plus, les corridors étaient une genre de labyrinthe, aucun moyen de continuer tout droit plus de quelque pas sans tourner un coin, or, il marchait en ligne droite depuis longtemps. Trop longtemps meme.

Il en conclu donc qu'il n'était pas sur le vaisseau. Mais ou était-il alors?. Il n'eu pas le temps de trouver la réponse a cette question qu'il entendit des pas derrière lui. Il se retourna en direction des bruits.

* enfin une personne *

- excusez-moi, où sommes-nous?

Mais il n'eut aucune réponce. Le noir était tellement intense qu,il ne voyait même pas le bout de ses doigts. Donc, aucune chance qu'il ait pus voir cette personne. Pourtant, les bruit de pas était bels et bien présent, ils se fesaits même de plus en plus nombreux et rapides. Il décida donc de continuer son chemins, commencant à être effrayé de tout cela. Il accéléra le pas, mais il n'y avait toujours rien à l'horizon. il jeta un dernier coup d'oeile derrière lui mais toujours rien. Lorsqu'il reporta a nouveau son regard vers l'avant, il vit une lumière.

* enfin ! *

mais il avait beau marcher, cette lumière semblait ne jamais s'approcher, pire, on aurait dit qu'elle s'éloignait. Il commenca donc a courir, mais il ne fit pas le seul. au moment meme ou il avait commencer a courir, les bruits de pas accéléraient eux aussi. soit quelqu'un était a sa poursuite, soit lui aussi voulait sortir de cet endroit le plus vite possible.

Pour vérifier qu'elle hypothèse était la bonne, il se stoppa net et ce fut le silence total. Il le suivait donc. Il devenait de plus en plus inquiet et reprit son pas de course. Il distinguait maintenant d'ou provenait la lumière. Cette lumière dessinait le contour d'une porte. Donc, s'il continuait a courir, il réussirait a arriver a bon port.

Arriver a cette dite porte, il cessa tout mouvements, reprenant sa respiration. mais les pas venait maintenant de directement derrière lui. il pouvait maintenant le sentir a quelque aps de lui mais n'arrivait toujours pas a le distinguer. il se dépêcha donc de tourner la poignée pour sortir de cet enffreux endroit mais la pognée lui resta dnas la main. il se retourna d'un mouvement brusque lorsqu'il sentit un souffle dans son cou. Il tenta donc de se défendre, mais il avait beau essayer de frapper son aggresseur, ses coup frappait toujours le vide, comme si ses poings passait au travers de l'homme devant lui. il sentit l'homme l'aggriper et serrer au cou.

Il ouvrit brusquement les yeux en alletant et jetant des regards paniqué tout autour de lui.

Dans un semi-sommeil, il senti l'autre l'entourer de ses bras. Il ne s'en plaignait pas. Il ne se plaignait de très peu de choses après une telle activité, si ce n'était de rien du tout. Rien n'avait suffisament d'importance. Il se senti sombré dans un sommeil sans rêve dont lui seul avait le secret. En fait, il ne rêvait jamais. Il gardait son sommeil léger mais réparateur. Comme cela il pouvait se lever rapidement au moindre bruit suspect ou au moindre problème. Et dieu seul sait que sur ce vaisseau de malheur, les problèmes se suivaient à la queue leu leu.

Il n'aimait pas cette vie, mais il aimait vivre. Et il savait dans un sens qu'il gardait le jeune en vie. Le vaisseau n'amenait pas la joie de vivre, ni le soleil. Il amenait toutes sortes d'oportunités, comme celle de faire pousser autant de dope que l'envie lui en prenait ou de partir n'importe quel commerce de troc que quiconque voulait, mais il ne donnait jamais rien de supra-extra.

Une partie de lui avait hâte que la fichu capitaine leur trouve une nouvelle terre. Qu'il puisse enfin avoir de l'espace à lui et qu'il puisse enfin être débarasser d'elle. Parce que oui, il se sauverait le plus loin possible pour qu'elle disparaisse de sa vie. Il s'arrangerait pour ne pas être facilement retrouvable.

L'autre partie lui disait que non. Ici, il avait un clan à lui. Une famille. Bien que non reliée par le sang, cette dernière le protégeait bien. Et il ne pouvait pas faire autrement qu'admettre qu'il ne voulait pas voir le blanchon partir. Non pas qu'il se sentait plus amoureus. Non pas qu'il se sentait un élan de passion quelconque. Mais le morveux s'était attaché dans sa vie. Comme un verre dans une pomme. Il n'y avait plus moyen de le déloger. Pas qu'il l'aurait voulu.

Il se réveilla rapidement en sentant Nathaniel commencer à s'agiter, rien de différent à l'habitude, juste les mouvements ordinaires d'un rêve. Ensuite les mouvements devinrent de plus en plus stressés et secs, jusqu'à en devenir tout simplement un vrai combat. Le jeune homme se débattait comme un diable, mains et pieds dans tous les sens.

Eriol l'empoigna aux bras qu'il coinça dans le dos du plus petit qu'il retenait toujours sur le lit. Lorsque ce dernier se réveilla. Il le relacha et le laissa se rassoire en un bloc.

L'empoignant à nouveau, sans dire quoi que ce soit. Eriol retourna Nathaniel vers lui et le laissa prendre le temps de le reconnaître et sans rien lui demander, ce n'était pas dans sa nature, il entraîna l'autre sur le lit et le recoucha face à lui avant de l'observer comme une chouette. Soit il parlerait, soit il s'endormirait. C'était aussi simple que ça. De toute façon il faisait toujours quelque chose, il ne restait jamais bien longtemps sans rien faire, alors que le plus vieux pouvait rester des heures immobile à observer ce qui allait se passer.

Il alla rechercher du pied la couverte qui avait glissé et les recouvrit à nouveau ou était-ce pour la première fois? Il ne se souvenait pas. Peu importe. Il avait froid maintenant.

Cela lui prit un certain moment avant de bien reconnaître les lieux et la personne devant lui. Il était bien dans la même pièce dans laquelle il s’était endormie et toujours avec la même personne, c’est-à-dire, Eriol. Il resta un moment a le fixer, jusqu’a ce qu’il le recouche sur le lit. Il se laissa totalement faire, trop épuiser pour se débattre. Une fois ceci fait, il se colla le plus possible a lui, s’y accrochant fermement comme si, en le lâchant, il allait tomber. Il ne ferma cependant pas les yeux, ne voulant pas se rendormir tout de suite. Il n’avait aucune idée de l’heure qu’il pouvait être et il s’en fichait éperdument.

Il savait qu’Eriol le fixait mais il n’y fit pas attention. Il accota sa tête sur lui et laissa passer de longues minutes avant de prendre la parole. Il parla d’une voix maintenant rendue calme mais ne parla pas fort.

- Je me sens ridicule… Même rendu a cet age, ce cauchemar a réussit a me mettre dans cet état.

Ensuite il attendit. Pas qu’il attendait une réponse, seulement, il attendit que le temps passe. Il n’avait aucune envie de se rendormir ni de se lever. Juste rester la.

captiver par ses pensées et resongeant a ce rêve, il se mit a dessiner des arabesques sur le torse du plus vieux avec son doigt. pourquoi avait-il fait ce reve et avait-il une signification ? Ce n'était pas son genre de croire a toute cette chose alors il laissa cette question passer son chemin jusqu'a ce qu'elle disparaisse totalement de sa tête. c'était mieux ainsi.

Le silence. Ce silence était plaisant. Pas de stress ni d'état de mal à l'aise, juste le silence. Il entendit alors des pas dans les couloirs. La vie sur le vaisseau reprenait. Le monde se levait pour entreprendre une nouvelle journée pour finir pas aller se recoucher le soir. Pas qu'il y ait grand chose a faire sur ce vaisseau. Il regrettait la Terre et de pouvoir sortir prendre de l'air frai a l'extérieur. Le soir, il allait souvent se coucher sur l'herbe pour regarder les étoile. Quand il était petit, il voulait devenir astronaute, enfin, presque comme tout les jeunes à cet age la. Ensuite, l'idée de devenir médecin, professeur, devenir une star, bref, tous des rêve d'enfant, Mais le métier d'astronaute était resté longtemps a son esprit. Le ciel et les étoiles l'intriguait, il se demander comment se serait d'être dans un vaisseau spatial et de parcourir l'espace. Maintenant il le sait, mais il fut décu. Il voudrait seulement au moin voir les étoiles, ce foutu vaisseau n'avait même pas de fenêtres...

[Après finalement trois jours et un peu plus de 17 heures passer sur un devoir de français, me revoilà pleine d'excuses de t'Avoir fait attendre ma belle]

Nathaniel se laissa retomber sur le lit. Ou s'était-il juste lentement recouché? Peu importe. Il s'abandonna à servir d'ours en peluche pour le moment. De toute façon, se débattre de l'étreinte aurait été impoli et très inhumain, encore plus qu'il ne le laissait parraître à son habitude. Il continua à fixer le jeune homme d'un regard souple et ferme. C'était évidant ce qui venait de ce produire. Même si Eriol ne se souvenait plus de son dernier cauchemard, quelques demi-douzaines d'années auparavant, il se souvenait tout de même de la définititon du fait; mauvais rêve qui fait se réveiller le dormeur en sursaut. Et c'était probablement ce qui venait de se produire. Le blanchon le confirma dans ses paroles.

- Je me sens ridicule… Même rendu a cet age, ce cauchemar a réussit a me mettre dans cet état.

Le plus vieux ne commenta pas. Quelle importance. Il n'aurait pas su quoi dire. Et il savait que son partenaire n'en attendait pas. Il ne répondait jamais à ce genre de chose. Tout simplement parce qu'il ne prenait pas la peine de se faire une opinion précise du fait. Était-ce ridicule de faire un cauchemard? Peu importe. Était-ce ridicule d'y réagir de cette façon? Quand il aurait du temps à perdre, il y reviendrait peut-être, pas.

Le noirot ne se rendormi pas plus que l'autre. En fait il ne dormait pratiquement jamais. Il avait appris qu'il était plus facile de se débarrasser de ses ennemis pendant leur sommeil, peu importe l'heure de la journée ou de la nuit. Il avait apprit que c'était le seul moment où le corps humain ne réagissait pas normalement aux stimulis en tout genre. Et que de pas réagir normalement pouvait signifier la mort. Dans ce vaisseau, il ne voyait que trop bien la similaritude à ce fait. Plus de meurtres, pour le même nombre en population, se faisait sur ce vaisseau qu'il s'en faisait aux États-Unis pendant la glorieuse époque du pétrole sur la Terre.

Et Eriol ne voulait pas se faire tuer. Il savait que s'il disparraissait, beaucoup de gens en feraient autant. Nathaniel serait sans doute un des premiers questionner, ou tout simplement assassiner. Si il y avait quelque chose qui avait de l'importance pour le chef de gang c'était la sécurité des siens. Donc lui devait survivre. Tout comme la capitaine devait survivre si on avait un jour l'espoir de trouver un foutu cailloux habitable dans l'Univers.

Personna jusque là n'avait tout de même oser l'approcher pour l'éliminer. Quelque chose à propos du fait qu'il était imposant et effrayant de par lui-même. Très peu d'importance.

Son cerveau retourna dans les méandres de l'entre sommeil. Où il resta à moitier endormi, à sruter les alentours, les sons et les différentes intensités de lumière. Le jour, enfin ce que les gens apellaient le jour, était déjà lever. Lui ne pointait jamais le bout de son nez à l'extérieur avant midi. Après tout il était rare qu'il entre dans sa chambre avant 3 heures du matin, alors pourquoi se gâcher la vie avec un matin hors du lit?

-Maintenant dors.

Ordonna-t-il au plus jeune. Il savait que la journée du lendemain serait probablement chargée. Trop chargée.

Nathaniel resta dans cette position le plus longtemps possible. s'il était comfortable et que cela ne dérangeait pas l'autre, pourquoi bouger ? il essaya de chasser les derniere image de ce mauvais rêve qui persistait a lui revenir en tête. Chose pas trop difficile a faire lorsque l'on se sent en sécurité et que quelqu'un veille sur vous.

-Maintenant dors.

Cette phrase ne l'étonna guère. Il n'avait pas dormit beaucoup jusqu'a maintenant et il savait qu'il leur restait encore quelque heure avant de se lever et être pret a affronter une nouvelle journée. De plus, il savait que tant qu'il n'aurai pas fermer l'oeil, l'autre ne dormirait probablement pas d'aussi tot.

Il se placa donc dans une position plus adapter pour dormir sans toute fois se décoller d'Eriol. Il ferma les yeux et cela ne prit aps beaucoup de temps avant qu'ils ne s'endorme a nouveaux. Mais cette fois-ci, il ne fit aucun caucemar. Il ne fit aucun rêve du tout. Seulement un sommeil réparateur qui saurait le remettre sur pied bien vite.

Quelque heures de plus passèrent avant qu'il ne se réveil. Il ouvrit difficilement les yeux et voyant que l'autre ne s'était toujours pas réveiller, il décida de les refermer pour essayer de se rendormir. Mais il n'y parvint pas. A contre coeur, il les réouvrit a nouveau sans bouger d'un centimètre et sourit a la vue qu'il avait.

* on dirait un gros bébé ^^ *

Il attendit sans un mot qu'il se réveil, ne voulant pas attirer la rage de celui-ci s'il le réveillait et qu'il ne le voulait pas. On ne sait jamais comment une personne peut se comporter a son réveil surtout si celui-ci est entrain de rêver a quelque chose de propice pour que cela arrive. Bref, il attendit qu'il ouvre les yeux pour lui faire un beau sourire et de lui donner un baiser dur le bout du nez

- Bon matin mon mignon

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