Nom : Je me nomme Xander, nom que seul les membres supérieurs de la hierarchie du vaisseau utilise.
Prénom : Mon prénom est Eriol, souvenez-vous en.
Date de naissance : Je suis né 2049-07-29
Age : J'ai accumulé 27 ans de vie.
Sexe : De sexe masculin.
Attirance sexuelle : Homosexuel, ai-je vraiment besoin de le mentionner?
Appartenance : Au The Pact, le premier gang en importance sur le vaisseau.
Caractère: Se décrire soi-même est insipide. Mais quand il le faut, ... J'ai tendence à rester froid et intouchable. Bonne qualité pour un chef de gang, grand défaut pour un humaniste, mais ça tombe bien je ne suis pas un humaniste. Étrangement, malgré mon comportement violent, j'ai un bon contact avec les enfants. Ils me font pas chier, je les gâtes, leurs parents me détestent, tout va donc bien dans le meilleur des mondes. Je crois d'ailleurs que c'est l'une des l'une des seules qualités humaines qui vaille la peine d'être nommée. Ma violence prend parfais le dessus sur moi, mon envie de boire et de fêter aussi parfois. Je me dis que j'y peux rien et que c'est ma nature, ça m'éviter une auto contemplation qui en finirait plus de décevoir. On s'en moque. Mon pire défaut et ma plus grande faiblesse est probablement ma libido. Tout ce qui est de sexe maculin, qui bouge et qui ressemble à un être humain m'attire. Je ne peux juste pas lui dire non. Je suis porter aussi à vouloir touché, permission reçue, ou non.
Physique : Encore une catégorie insipide, mais je suis fier de mon physique, donc je vais me laisser emporter par le superflu et la superficialité de la chose. On me dis grand, je suppose que c'est relatif. 1 mètre 82, c'est une grandeur comme une autre. Même s'il est vrai d'avouer que je suis parmi les plus grands survivants. On me dit un regard froid, peut-être à cause de mes yeux gris acier... non probablement parce que je le suis tout simplement. Je garde mes cheveux aux épaules, brun moyen à pâle, ils font indéniablement contrate à mes origines orientales. On me dit très légèrement bazané, ou pâle pour un asiatique, mais comment voulez-vous avoir un beau fond dans ce maudit vaisseau? J'ai aussi des percings aux deux oreilles, plus à la droite qu'à la gauche. On me dit bien bâti, je me dis suffisament fort, pour offrir un bon combat à quiconque se mettant au travers de mon chemin avec ce que les gens appelle mes 71 kg de muscles. Ce qui me donne un aspect tout de même svelte vu ma taille. On me voit majoritairement revêtu de noir ou torse nu.
Intérêt : J'ai un intérêt particulier envers le sexe opposé et tout ce qui le constitue.
Ce que vous aimez : Mon bras droit est mignon quand il est jaloux, Me battre. Les hommes. Les enfants, pas comme ça bande de pervers!
Ce que vous n'aimez pas : Qu'on se mette entre moi et mon but. Les hommes qui ne sont pas du bon bord....
Histoire:
Je suis né au Japon dans la grande ville de Tokyo. Rien d'autre à en redire. Tout le monde nait quelque part dans le monde et sort du ventre d'une femme, de préférence. Tout le monde se fait ensuite tripoter par le médecin ou la sage femme dans l'espoir qu'on lui trouve une difformité quelconque avant d'être remi dans les bras de celui ou celle qui va peut-être réussir à l'éduquer, et ce le plus rapidement possible. Ça fonctionne comme ça depuis des années et ça va continuer de cette manière avant qu'un illuminé change la recette. Alors il n'y a vraiment rien à en redire.
Tout le monde passe par l'école. C'était devenu obligatoire jusqu'à 16 ans dans tous les pays du monde, parfois même jusqu'à 18 ans. Certains commencent plus tôt que d'autres. J'ai commencé à trois ans. Beaucoup trop tôt pour certains, pour quelques parents, ça aurait pu arriver plus vite encore. Encore là rien à redire. L'éducation c'est considéré important. Tout le monde passe par là et va passer par là dans l'avenir. Et à peu près tout le monde en sort avec la capacité de penser par lui-même. Je ne parle pas des exceptions ici que l'on appelle dans le langage courant des moutons.
Tout le monde perd quelqu'un qui lui est cher un jour où l'autre. Normal. Personne n'est immortel que je sache. J'ai perdu mes parents à l'âge de 6 ans. Pleurez pas. Je ne me souviens pas d'eux. C'est normal, j'étais trop jeune quand un accident de voiture leur a fauch. la vie. Je ne m'ennuie pas d'eux non plus. Comment voulez-vous que je m'ennuie de quelque chose dont je ne me souviens même pas. Rien à ajouter si ce n'est que j'ai grandi avec un oncle trop riche pour son propre bien.
Lui aussi a été tué.
Je me suis retrouvé seul à 12 ans. Mais on s'en fout, c'était mieux comme ça. Avec l'argent qui restait le notaire a payé une nounou. Je la détestait, c'était réciproque. Elle faisait la bouffe et le ménage. Rien de plus. J'ai continué d'aller dans les meilleures écoles. Toujours rien à redire.
J'ai découvert les drogues. Quelle magie. Des balles de couleurs qui te suivent partout, un petit miracle qui ne provient pas de la technologie, mais d'un truc qui est vieux comme le monde. J'ai appris à en faire pousser, à la transformer. Un bon petit gagne pain pas trop épuisant bien que légèrement dangereux si on considère la sévérité des lois japonaises sur le sujet à l'époque. Mais on s'en tappe, le Japon n'existe plus.
J'ai découvert le sexe. Comme tout le monde ou presque j'ai apprécié. En particulier avec le même sexe. Bien meilleur. Du moins je crois. Moins compliqué aussi. J'en suis devenu obsédé au point d'oublier la drogue et ses effets. Bonne désintoxe. Sauf si on considère qu'après il faut apprendre à résister à ceux qui nous entoure, on a un problème. Faut juste ne pas trop y penser et se trouver quelqu'un de jaloux pour nous tenir en laisse. Pas évident. Surtout avec un comportement de libertain.
La Terre a commencé à faire des bad trips. La couche d'ozone a commencé à crever, des personne à mourrir brûlées, d'autres empoisonnées par l'air. Mauvais signe. Pas besoin d'un diplôme pour le comprendre. On nous dit de déménagé. Non pas dit, ordonné. Pour une fois j'ai obéi. J'ai suivi le flu d'énergumens stressé et anxieux jusqu'en Russie. Le monde capote. C'est l'apocalypse. Je bois, je fumes, je baises. Point. Pas de panique. Pas d'énervement. La race humaine est trop merdeuse pour disparaître. Elle a jamais survécu à pire, mais on disparaîtra pas. On est pire que de la mauvaise herbe dans un jardin d'opium.
Qu'est-ce que je disais. Un vaisseau sorti de nul part qui attérit dans les bras des scientifiques, une femme qui apprend à s'en servir dans un rêve et pouf! tout le monde à bord on décolle. Les êtres humains sont sauvés! Youpi. On va juste aller contaminer une autre roche. C'est notre destin.
Le trou noir n'est qu'un détail. Il nous a amené plus loin plus vite.
Sofia est la seule au pouvoir. Une femme, seule. Pas de décision de groupe. Pas de vote de majorité. Pas de démocratie pour un homme qui veut se sentir libre. Je m'écoeure. Je réquisitionne des quartiers, j'envoie le monde baladé. Ceux qui veulent pas quitter je leur met mon poingt au visage. Ils dégagent tous. Je me retrouve seul avec moi-même pour réfléchir une première depuis des années.
Les gens commencent à arriver. Ils se joignent peu à peu à moi. On commence à former un groupe. Quelqu'un, je sais pas qui, le nomme The Pact. Le pacte, un bon nom, surtout quand on en a pas fait un encore. On ne se bat pas encore on est pas près. On monte une serre, on prend tranquillement le contrôle de l'approvisionnement et du rationnement du vaisseau en nourriture, eau, drogues (bien entendu) et remèdes. On ouvre un bar. On cré des alcools. On prend du pouvoir. Des idées collectives se forment. Enfin je crois.
J'ai enfin trouvé quelqu'un pour me tenir en laisse. Pas sûr qu'il y arrive, il est trop doux, trop fin, il se laisse marcher sur la grosse orteille, mais pas sur le pied. Il y a donc de l'espoir. J'en fais mon bras droit. Il vient me voir quand il y a des problèmes. Je règle tout de façon simple. Tu te tais ou tu mange du gruau pour la prochaine année. Le monde se la ferme d'habitude.
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Lun 5 Nov - 23:09
