Nom : Sama
Prénom : Kenzo
Date de naissance : 2057, 26 Mars
Age : 19ans
Sexe : Homme
Attirance sexuelle : Hétéro biensur !
Appartenance : Je passe mon chemin ! ^^ (pour l’instant)
Caractère: Disons que Kenzo n’est pas l’homme le plus sociable qu’il existe, il préfère de loin rester ou travailler seul. Il est pourtant très amical et sociale quand un ou l’autre décide de lui adresser la parole. Selon ces dires on pourrait le qualifier de timide, pourtant il ne l’est pas du tout. Il ne se gênera pas d’aller frapper l’un ou l’autre pour ce qu’il a fait. Il est d’un certain genre gentleman, il sait qu’il n’en reste que très peu et que la mode n’est pas du tout à ce genre de chose, mais il respecte ces petites lois. Pour lui, le fait de voler ou de tuer pour ce que l’on veut dans ce nouveau voyage, n’est pas présent. Il déteste la certaine force ou influence que les clans ont sur les autres. Il n’est pas indépendant, mais pas loin de là. Il prendra volontiers le coté des moins bien positionné, sauf si il est déjà d’un coté. Quelque chose de particulier chez lui est qu’il peut facilement déterminer le type de personne qu’il a en face de lui. Je m’explique, sans connaître la personne à qui il adresse la parole ou quelqu’un qu’il connaît depuis peu, il peut déjà déterminer beaucoup de chose sur elle. Certain peu le trouver vraiment bizarre à cause de cela… Parfois il se trompe, mais rare sont ceux qui sachent bien cacher leur personnalité face à Kenzo.
Physique: Kenzo n’est pas l’homme le plus grand qu’il soit, il ne vous regarde que de son 1m78. Il n’est pas non plus se qu’on peut qualifié de musclés, disons qu’il est d’une largeur normale. Ces deux cotés de lui n’impressionne pas la plupart des hommes passagers. Disons que, sans le vouloir, Kenzo garde une certaine effet de surprise quand l’un ou l’autre le voie en action. Juste comme il est il ne parait pas du tout être plus fort que l’un ou être plus souple que l’autre, mais quand il a besoin de ses capacités qu’il a si soigneusement entraîné, il les met en marche à merveille. Il n’a pas un corps d’athlète comme certain autres, mais il est bien entraîné et même plus que la plus part des autres. Suivant rudement les conseils d’arts martiaux qui lui avaient été transmis, il est souvent entrain de s’entraîner. Il a les cheveux d’un noir étonnant, mais il a quelques mèches bleutées. Ses yeux sont d’une couleur grise pâle, parfois ils virent vers le vert ou vert le bleu. Il est souvent habillé de ses pantalons noirs en cuir et de son grand manteau noir lui aussi en cuir. Son manteau va presque toucher le sol, il laisse juste à découvert les pieds nus du jeune homme. Il a des gants qu’il n’haute sous aucun prétexte, puis il a quelques tatou tribaux dans le dos et sur les bras en descendant. Il a les poignets tatoués de flammes.
Intérêt: La musique, les arts martiaux et le théâtre.
Ce que vous aimez : Mes intérêts, mes entraînements, jouer de la guitare et les femmes sympa ! ^^
Ce que vous n'aimez pas : Les personnes trop « frais-chier », l’injustice entre les faibles et les bandes.
Histoire: Il y a de ça environ deux décennies, je suis né. Né d’un père dont je ne connais même pas le nom et d’une mère qui m’a tellement aimé qu’elle en est morte… Je vais vous racontez ce que je sais sur ma petite vie. Je sais que ce n’est pas vraiment intéressant, mais bon, puisque vous insistez tant je vais commencer d’où je me suis fait raconter… Donc, je ne connais pas vraiment les quatre premières années de ma vie, je vais commencer à mes cinq ans… À cette âge là… Disons que c’est l’instant dans ma vie où j’ai du commencer à vivre tout seul… Ma mère est décédé à cette âge là, si je me rappel bien ce que me disais les docteurs, c’était qu’elle avait, une sorte de maladie incurable à cause de cette pollution… Mais bon, je m’en suis remis. Pendant que la secrétaire cherchait à trouver une quelconques famille que je pourrais aller m’incruster, je suis parti de l’hôpital et marché là où le destin me guidait. Je ne regardais pas vraiment par où j’allais pendant un moment, je ne faisais que m’enfuir, m’enfuir d’une vie que de toute façon j’aurais refusé… Je partis vers les basses villes, ou les pauvres essayaient de se partager une partie de territoire. Je ne fis pas vite ma place, mais je trouvai un endroit après un petit moment où je pouvais me sentir bien. Je vivais de mes moyens, je mangeais des restants de restaurant qu’on voulait bien m’offrir, parfois je parcourais les terrasses restantes où les plus riches acceptaient de me léguer leurs fin de repas. Puis à mes huit ans je commençai à devenir mature, oui, c’est vrai, la majorité d’entre vous n’a atteint cette phase que pendant leur fin d’adolescence, pendant leur début de vie d’adulte ou ne l’on jamais rejoins encore, mais je me suis rendu compte plus vite que la normale de ce qu’était la vraie vie, puis je me sentais guider par une certaine force quand je méditais… En cette même année un vieil homme, d’une cinquantaine d’année vins me trouver à l’endroit où la plupart des gens ne venaient pas jeter de coup d’œil. Il voulu premièrement me ramener avec lui, mais je refusai biensur, n’ayant confiance en personne et ne voulant pas de la pitié de quelqu’un je refusai gentiment sa proposition. Il me proposa de m’entraîner à quelques arts martiaux, pour que je puisse me défendre dans cette vie de basses villes, mais je refusai encore. Je n’avais jamais eu à me battre, alors pourquoi le devrais-je ? Après deux jours de cette rencontre, je me fis trouver par d’autres gars, pourtant, moins sympathiques… Ils étaient trois, dans près de la vingtaine à ce qu’on pouvait voir, puis, ils étaient là pour prendre ce que j’avais. J’avais déjà entendu parler de ces petites gangs qui rodaient pour tout avoir, mais je n’en avais jamais vu, c’était la première fois. Tout ce que j’avais, c’était mon vieux linges et quelques pièces de monnaies, je ne vois pas pourquoi il voulait cela, mais bon même si j’étais seul, l’orgueil s’était installé, et je n’avais pas ce sentiment de peur encore… Je m’opposai à leur donner ce que j’avais puis ils se fâchèrent, ils ne croyaient surment pas qu’un gars comme moi leur tiendrait tête… À ce moment j’aurais peut-être mieux fait de me taire par contre. Le premier vint, il venait vers moi avec une barre de fer. Je ne m’étais jamais battu encore, puis avec environ dix ans de différences avec lui, je ne faisais clairement pas le poids. Je fermai les yeux et fonçai vers lui, je m’élançai comme je le pensais dans une bataille contre cet homme. Je frappai comme je le croyais, surtout dans son ventre, puisque je n’allais pas plus haut. Puis je fus surpris de le voir s’étendre par terre devant moi… Je souri puis me tournai vers les deux autres. Je levai le poing dans les airs en criant des injures, mais ils ne furent pas effrayé et vinrent à leurs tours. Je pris une bonne inspiration et courrai vers eux, cette fois les yeux ouverts. C’est comme ça que après une minute environ je me ramassai par terre, bien amoché sans ma petite monnaie… Je réfléchis pendant un moment, le moment où je n’étais plus capable de bouger. Je pris une décision, je revins vers mon abri et aperçu miraculeusement ce vieil homme… Il souri en voyant que j’étais blessé. Je vins vers lui puis me pencher vers l’avant en signe de politesse. Je lui demandai poliment de bien vouloir m’excuser pour la dernière fois et que cette fois-ci je voudrais bien aller apprendre l’autodéfense avec lui. Il ria un peu puis commença à marcher en direction inverse, biensur, je le suivi sans rien dire. Rendu à cette grande bâtisse qui semblait entrain de tomber en ruine, il me fit entrer par l’arrière de celle-ci. Je vis quelques machines d’entraînement et une sorte de vieux gymnase. Je ne savais pas vraiment ce que c’était, mais j’étais impatient de savoir. Il me montra du doigt où je pouvais aller m’installer, j’aperçu au loin un matelas par terre dans un coin du gymnase. Pendant la première année passée avec lui, j’appris seulement de vieille technique d’entraînement, aucunes techniques d’arts martiaux. J’appris à le connaître, ce vieux Myok, un homme pour qui, la fin du monde approchait, mais qu’il ne cesserais pas de faire sa passion jusqu’à ce qu’il en meurt ! La seule chose qu’il ne voulait pas me dire était un secret qu’il tenait à me cacher pour une quelconque raison que je ne connaissait pas… Plusieurs années passèrent, il m’entraînait comme un bon maître le devait, puis peu à peu je me mis à avoir mes propres idées. C’est comme cela que mes premiers tatous en échange de service et mes habits apparurent. Après un bon moment, environ vers mes quinze ans, je commençai à être meilleur que mon maître. Deux raisons en étaient, je commençai à devenir fort certes, avec tous ces entraînements, mais aussi, mon maître ce faisait vieux… J’avais l’idée depuis un bon moment d’aller explorer ailleurs aussi, je voulais voir ce que le monde était… Quand il apprit cela, il me demanda lui-même de partir, premièrement parce qu’il voulait que son enseignement ne m’est pas servi à rien, il ne voulait pas non plus que je le vois vieillir comme ça. Puis pour que je parte, il me légua ce secret qu’il avait tenu si longtemps. Ces trois gars qui étaient venu m’harceler, les premiers qui m’ont frappé, n’avaient pas fait cela pour leurs propres plaisirs. Il les avait engagé pour cela. Il me dit qu’il voulait tellement m’enseigner depuis qu’il me voyait méditer qu’il avait tout fait, même les payer. Puis dans une réaction dont il ne s’attendait pas, je souri. Je vins vers lui et l’étreignis dans mes bras, si il n’avait pas fait cela, je serais probablement encore dans les poubelles. Après tout, cet homme, Myok, avait été mon maître, mais d’une certaine façon, mon père aussi… Suivant sa dernière demande, je l’abandonnai dans son gymnase, puis partis avec mon manteau noir sur les épaules. Ne connaissant rien de se monde, j’explorai rapidement, j’appris rapidement et je marchai rapidement. Pendant ces longs jours de marche, je croisais plein de gens totalement en panique, pendant que moi, je restais neutre, ne sachant rien de ce qui se passait. Un jour, j’aperçu au loin, une grande machine de fer, sur le sol. Je m’approchai lentement, mais surment, de ce que je ne savais rien encore. Plus je m’approchais, plus elle grandissait. Ça ne semblait pas être une grande maison, mais bon, j’apprendrais en arrivant. Arrivant près de cette gigantesque pièce de métal je vis plein de gens qui commençaient à monter à l’intérieur de cette grande chose de métal. Je ne comprenais rien à cela, mais je m’approchai. Si je me mêlais à cette foule, je me faisais surment entraîner à l’intérieur, donc je restai loin. Quelqu’un qui n’étais pas dans la foule s’approcha de moi, il semblait armé. Je me demandais ce qui se passait. Bientôt, tout les gens qui étaient en file étaient entrés, puis cet homme m’expliqua qu’il fallait, sous-ordre d’évacuation, dans ce vaisseau. Je lui lançai un regard intrigué, je ne voulais pas entrer dans ça, je n’avais aucune raison d’y entrer. Je contournai l’homme pour m’en aller ailleurs puis il cria un avertissement. Je me tournai et revins vers lui, je le pris par le collet et lui dis.
« Je vais où je veux, t’a aucun droit de m’obliger à monter ! »
À ce moment quelqu’un parla dans un petit émetteur disant que tous les moyens étaient bons pour m’y faire entrer. C’était une voix de femme apparemment. Je souri tranquillement. Je tournai de bord et commençai à marcher en direction contraire de l’homme. Quand je me tournai je vis bien que l’homme sortait quelque chose et quand il arriva vers moi pour une raison dont j’ignorais. Je me tournai rapidement et frapper dans son casque. Je frappai ensuite d’un coup de pied dans son ventre. Il tomba par terre. Je regardai le petit objet qu’il avait laissé tombé et je le pris dans ma main. Je ne savais pas du tout qu’est ce que cela était, mais bon. Je le laisser retomber par terre. Je m’avançai vers l’homme par terre et arrivai près de lui. Il se releva rapidement, je vis en ce moment qu’il était bien entraîné. Puis quand il se relevait je donnai un bon coup du coté de ma main vers son cou. Il s’écroula de nouveau par terre. Je pris le petit micro situé à son cou et dis à l’intérieur.
« Il est pas mort, vous inquiétez pas, mais vous devriez envoyer quelqu’un pour lui. »
Je reculai de deux pas et regardai une fois de plus vers la grande bâtisse de fer. Je souri vers là-bas, puis me tournai. Au moment où je me tournais je reçu un projectile dans le bras, j’eu seulement le temps d’enlever une petite aiguille que je tombai par terre. J’étais immobile, mais encore conscient. Puis, c’est depuis ce moment, comme vous, que je ère sur ce vaisseau…
(Eh ouais! Enfin fini, j'ai enfin trouvé mon histoire! ^^
Ps: Dsl pour les fautes!)
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Sam 17 Nov - 18:13
